Vers une évaluation globale du système éducatif ? Oliver Rey
Site à consulter : https://tinyurl.com/y6jgtha8
Echec et maths : à qui la faute ? Emile Kockert, enseignante d’histoire-géographie, Versailles.
Des CE2-CM1 au top ! Jérôme Train conseiller pédagogique.
Un projet de voyage est proposé, super ! Comment l’organiser ? Combien coûtent les visites ? Comment récolter de l’argent ? Pas de panique, le fonctionnement en coopérative scolaire permet aux élèves d’exercer de durables compétences en économie, entre autres. (Cf. site sus-mentionné).
"Charlie, les chaises et le foot", Caroline Cristin Frezoules, directrice d’école.
Cette année, il est dans ma classe. Il est en grande difficulté scolaire, mais il sourit et il charme.
Quand le cerveau se cultive, Daniel Gaonac’h. Article de Jean-Michel Zakhartchouk
D. Gaonac’h s’accorde avec nombre de ses collègues pour ne pas valider l’idée de "styles d’apprentissage" ou d’"intelligences multiples". Et si certains dispositifs ou outils semblent avoir des effets, il est toujours décisif de se demander si ces effets perdurent, la question de l’évaluation étant toujours complexe.
Une notion revient souvent, celle d’"interaction".
Importance de l’automatisation : elle allège la charge cognitive et des activités d’entrainements. D. Gaonac’h met en garde contre des conceptions restrictives qui oublieraient la nécessité d’approches plurielles.
"L’effet Hawthorne" : tout changement dans un organisme, s’il est intégré dans les représentations des acteurs, provoque un accroissement de la motivation, et, partant,une amélioration des performances.
La prétention à catégoriser chaque individu à travers de prétendus "styles" intangibles ne conduit pas à développer des compétences, mais au contraire à enfermer chacun dans un fonctionnement figé.
Donner du sens aux apprentissages, c’est d’abord conduire l’élève à se poser des questions, autrement dit c’est éveiller sa curiosité, mais ce n’est pas laisser faire une supposée compétence innée à satisfaire sa curiosité.
Daniel Gaonac’h sera présent à la seconde Biennale de l’éducation nouvelle en octobre 2019.